| | on a mis la mort à nos trousses. (cleb) | |
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Cleb Kapi
REPRESENTATIVE SONG : RUB A DUB - FAUVE IN THE POCKET : LE NUMÉRO DE TA MÈRE, CELUI DU VÉT. UNE PAGE, LÀ, CHIFFONNÉE DE LINGES POUR BÉBÉ. UN FOND DE TABAC HUMIDE. UN PORTABLE À LA VITRE FRACASSÉE, MERCI BB PSEUDO : NEO (MEL) CREDITS : RAMSEY DOLLARS : 122
| Sujet: on a mis la mort à nos trousses. (cleb) Lun 9 Sep - 21:03 | |
| CLEB KAPI
| « We are your wakeup call. And we are not hiding from you. We are you. We are the morning you got off the treadmill and ran under the open sky. We’re the first time you kissed someone and they kissed you back. We are the night you couldn’t sleep. The night you were staring at the ceiling thinking, “Is this it?” “Is this the best life has to offer?” No. there was a freedom in you that knows no fear. » SURNOM: cleb. caleb. cleb. caleb ? putain, avec le temps, même le môme, il a oublié c'est quoi son nom, et puis son surnom. alors on s'en tape, rendu là ; cleb, ça va. mais fais attention où tu mets les pieds ; ça pourrait chier. ÂGE: vingt-deux ans. il était prêt, ce con, à être un grand. DATE ET LIEU DE NAISSANCE: on fait les durs, on fait les cons, quand on vient d'un trou. il vient de vegas, ce petit con, mais pas des casinos, non, d'un déserts macabre, d'un quartier où les maisons font miroirs. tard le soir, ouais, sous le cri d'un coyote, un soir de septembre. la mère, elle avait les cuisses humides de sang, la gorge inondée de cris enragés. ORIGINES ET NATIONALITÉ: On est tous mélangés, on est tous, au fond, un grand ramassis de n'importe quoi. Cleb, c'est un peu ça ; le cleb bâtard, oui, celui qu'on adore, malgré ses poils gras et puis sa gueule de taulard. Bâtard, c'est bien ça, ce nectar au fond de ses veines ; bâtard, oui. Un peu américain, un peu amérindien, tiens, et pourquoi pas, pour couronner le tout, juste connard. PROFESSION: c'presque de l'art, tu vois, de faire des donuts. c'est de l'art, ouais, surtout, de pas se prendre des kilos en trop, quand t'es devenu le pro, chez Dunkin' Donuts. STATUT CIVIL: jeté. abandonné. trompé. la connasse, elle s'est fait engrosser par un black. ORIENTATION SEXUELLE: hétéro. quoique, ce con, il s'est longtemps fait baiser par sa dulcinée. alors, autant tenter, les pds. CROYANCE(S): on est tous une bande d'athée, mais c'est pas rare, pour cleb, de lever les yeux, quand ça va pas. de lever les yeux, juste comme ça, et puis de balancer, fort, ou alors bas, un seigneur qui vient du coeur. CASIER JUDICIAIRE: il a flingué mon chat, ce connard ! elle avait la langue quand même sale, la vieille. cleb, quinze ans, ricane tout bas. le flic l'aime pas, il lui met les menottes. derrière, la soeur pleure, cette idiote. cleb fait la gueule, se débat un peu, et puis crache. c'est si beau, au fond, comme histoire à raconter. on s'en fiche, à côté, des vélos volés, des arrestations pour la drogue, au fond de ses poches. le reste, c'est si petit, à côté de ça. cleb, il flingue les chats. il fait son boulot de chien, oui. |
TOUJOURS PLUS HAUTE, TOUJOURS PLUS BELLE, LA NOTE. ELLE S'ENVOLE, LA NOTE. ELLE T'ABANDONNE, CETTE NUT. Ça arrive toujours à un moment, la petite erreur qui brise le bonheur. La petite erreur de croire qu'on est capable, qu'on est unique, au fond et que malgré la misère, bah, on pourrait y arriver. Il a cru, Caleb, dans son coin perdu, au milieu du sable et des voisins un peu cons, qu'il était capable. Qu'il pouvait, là, avec sa contrebasse, son amour éternel, se rendre là-bas, à New York, la belle, la grande, et puis jouer et les faire bander. Il a cru être doué, être si doué que d'un coup, ils tomberaient amoureux. Jeune et con, il l'était peut-être un peu trop. La tête haute, il observait les étoiles, le cleb, Caleb qu'il était, à l'époque, et puis il s'est pris les pieds, il est tombé, et une des cordes s'est fracassée. Il jouait, le grand rêveur, là, devant les juges, au coeur même de la Juilliard. Il jouait avec son coeur, son âme, et puis tant de choses aussi, pourtant. Il jouait avec ses tripes, aussi, et puis la corde, la fragile, la timide, elle s'est fendue. Elle lui a foutu une claque à la gueule, brusquement, a fendu son coeur en deux, a brisé son univers. Il est resté là, un moment, les doigts tremblants, le archer entre les mains. Incapable de respirer, incapable de penser. Le rêve, il s'est envolé. Brûlé et damné, il a entendu l'homme lui dire que c'était terminé. Une femme est venue, belle et grande, la faucheuse certainement, et elle l'a raccompagné à la sortie. C'était fini. Il était fini. rêvez, putain, par pitié. Il a essayé, Caleb. Il a essayé de rester là-bas, comme un grand. Il s'est dit, un peu naïf ; on va essayer l'an prochain. Et il y a cru, à ses jolies paroles. Il y a cru, et il est resté à New York, dans un appartement un peu minable, avec un emploi carrément pitoyable. Et puis au fond, ça a commencé doucement. Un peu de weed, comme ça, pour oublier à quel point à vie est devenue merdique, tout d'un coup. Un peu de hash, souvent, lorsque ses prunelles se posaient sur sa contrebasse, là, oubliée, abandonnée, la corde encore déchirée. Un peu de tout, peut-être, au final, tout ce qui se fume, pendant un temps, pour se faire croire qu'on ne fait rien de mal. Et puis, lentement, un peu ecstasy, et beaucoup plus, avec le temps. Un trou qui se fait discrètement dans son bras, alors qu'il fait mine de regarder d'un autre côté. C'est une porte de sortie, au fond, pour ne pas voir à quel point le monde est pourri. C'est s'abandonner, peut-être, suivre un peu le mouvement du monde entier. On a été abandonné, là, seul, un poignard dans le dos, et puis on a envie de faire pareil, quelque part. De quitter nos corps, et puis de nous envoler. De rêver, putain, par pitié. De rêver pour quitter un peu cette foutue réalité. Alors, il a rêvé, Caleb. Il a perdu son A, en chemin, il a perdu son a, oui, et il est devenu le cleb. Le cleb, là, enragé, qui se jette sans pitié sur une seringue oubliée, sur quelques doses égarées. Le cleb, celui qui se met à grogner, quand on lui dit de partager. Le cleb, le connard aux poings levés, un peu trop emporté, qui hésite à dégonfler, à tous vous dégonfler. Le cleb, celui qui pense avec ses veines bien pétées, bien trouées, et non pas avec sa cervelle de rêveur, de gamin, qui, qui voulait, autrefois, être un grand joueur classique. Fallait pas perdre le a, au fond, en chemin. Mais qu'importe, au final, il trouve un autre a, en chemin. Un a comme lui, ouais, il trouve Ange, sur son chemin. bb, il était black Elle était belle ; pas baisable, non, juste belle, juste ça, et le cleb, il a eu la queue, un moment, qui s'est agité. Il a souri, tout bonnement, et puis a fait non, de la main à un con, quand il lui a proposé une belle ligne. Il a fait non, et puis il est allé dragué, ce con. Les mains qui tremblent, la sueur froide, là, le long du dos. Les yeux injectés de sang, le coeur qui se fait la maille, et qui se crispe, fort, là, au milieu de sa poitrine. Elle était belle, trop belle ; elle devait être sa copine, sa coquine. La drogue, elle était pas assez forte. Le cleb, il s'est trouvé un cul à renifler, et puis soudain, on l'a perdu au beau milieu d'un chemin. Il aurait soulevé des montagnes, pour un simple baiser. Putain, il a même disparu dans un centre de désintox, ce con, quand elle lui a balancé qu'elle était enceinte. Il a tout abandonné, pour un putain de bébé. Des mois là, enfermé, trop longtemps, plus longtemps que les autres ; il a donné tout son fric, ce con, pour rester plus longtemps, pour oublier sa démence, sa dépendance. Et puis, à la sortie, rien. Pas d'enfant, juste un mot il a été adopté, bb. adopté. Il a fait la gueule, le cleb. Il a fait la gueule, et il a tué des chats, il a cassé des gueules, pour se calmer. Et puis un jour, il a éclaté, il a demandé pourquoi, et comment. C'est là que, entre les larmes, elle lui a balancé. Il était black, le bébé. Il était pas de lui, ce foutu bébé. Il s'était fait baiser. souffle, le coeur Ça le bouffe de l'intérieur, tout ça. Il a cru, naïvement, un moment, que c'était l'amour. Ou alors l'extase, la vraie, quand il s'envole bien haut, avec la drogue. Quand il vole haut, toujours plus haut, et que son coeur il se crispe, à cause de l'altitude. Belles paroles ; balivernes, oui. Il a cru, ce con, et puis il a pas cru, soudainement, quand les docs se sont ramenés la gueule. Examen standard, qu'ils ont dit. Le coeur déraille, qu'ils ont balancés. Il a pas écouté le reste. Il est devenu sourd, le cleb, là, sur cette chaise à la con. Il a pas écouté. Ils ont balancés que c'était bien, voire merveilleux, qu'il soit venu en désintox. À se trouver les veines un peu plus, le coeur, il aurait pas suivi. Il aurait vraiment rencontré les étoiles, pour une fois. Il aurait pas été en compagnie d'un Ange, mais de milliers, ouais. Vaut mieux rester clean, qu'ils ont balancés. Maintenant, avec un coeur aussi faible, avec un coeur sur le pont, la moindre piqueur pourrait être le saut final. le bon gars Tout est fini. C'est fini. La vie a gagné, le cleb, il a accepté. Il accepte de se laisser dresser. Il a envie, le souffle court, d'être dressé. Il a abandonné ; il en a marre, d'être déglingué, de courir, toujours, et puis de fuir la vie. Il en a marre, d'avoir mal, et puis de se trouer les veines. Il en veut pas, de la mort. Il veut la vie, la vraie, la jolie. Il la veut dans son lit, s'endormir dans ses bras, la nuit, contre son sein. Il veut un sourire, sur ses lèvres, au couché comme au matin. Il veut juste vivre, juste exister. Peut-être même, quelque part, être un bon gars. C'est chouette, les bons gars. Il squatte le canapé de la soeur, là, pendant un temps, depuis un petit moment, couché sur le canapé lit. Il fait des donuts, là, pour passer le temps, pour amasser l'argent. Il endure un peu, sourit doucement, les paroles d'Ange qui est un peu devenu démon, en son absence. Le cleb, peut-être qu'au fond, bah il essaie de retrouver Caleb. Il cherche son a, le cleb. Comme un chien, là, affamé, qui cherche son os, pour se faire les dents.
PSEUDO/PRENOM: neo (mel) COMMENT TU NOUS AS CONNUS ?: on m'en a parlé, on m'en a lassé, j'en ai rêvé et puis ce con de cleb est né. AVATAR: rory smith COMMENTAIRES ?: démon
Dernière édition par Cleb Kapi le Mer 11 Sep - 3:10, édité 26 fois |
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Cleb Kapi
REPRESENTATIVE SONG : RUB A DUB - FAUVE IN THE POCKET : LE NUMÉRO DE TA MÈRE, CELUI DU VÉT. UNE PAGE, LÀ, CHIFFONNÉE DE LINGES POUR BÉBÉ. UN FOND DE TABAC HUMIDE. UN PORTABLE À LA VITRE FRACASSÉE, MERCI BB PSEUDO : NEO (MEL) CREDITS : RAMSEY DOLLARS : 122
| Sujet: Re: on a mis la mort à nos trousses. (cleb) Lun 9 Sep - 21:03 | |
| 24 janvier 2012. C'est un peu le bordel dans ma tête présentement, mon gars. À être enfermé en compagnie d'autres camés qui essaient de se sauver, on est pas trop porté à discuter. On a souvent envie de se sauter à la gueule, en fait. T'sais, cette impression au fond des veines, celle qui nous prend par les tripes et qui nous fait croire que l'autre mec, il a une dose bien cachée sur lui, et qu'il est pas là pour partager. Ouais, celle là ; bah elle est toujours là, mon gars. Toujours là, au travers de chaque putain de regards échangés. C'p'être ça, au final, chercher à guérir, à aller mieux. Affronter la putain de douleur, celle qui nous ronge de l'intérieur. T'sais, Ange, avoir eu assez de fric, je t'aurais p'être traîné ici avec moi. J'y ai pensé, t'sais, mon gars. Mais c'était pas trop une bonne idée. T'aurais chialé comme un bébé, j'crois. J'aurais demandé à sortir avec toi, après deux jours à peine, juste parce que j'aurais été incapable de m'passer d'toi, d'te voir comme ça. Tu m'en veux, mon gars ? Surement, ouais. Ça fait quoi ? Deux ans, trois ans maintenant ? J'ai pas compter. Le temps, il a défilé à une putain de vitesse, au même rythme que nos coeurs déchaînés. Il est à bout de souffle, maintenant, le temps, et j'ai l'impression qu'il va trop lentement. Que tout va trop lentement, en fait. Et ça fait peur, un peu. J'arrive à entendre chaque battement de mon coeur ; ça fait peur, le soir, quand j'suis dans mon lit. J'entends plus l'coeur de ma copine, là, contre moi, et puis celui du môme, dans son ventre. Le monde est un peu trop vide, t'sais, sans la came. Il est vide et calme, comme après une putain de tornade, une tempête qui a tout ravagée, sur son passage. Tu peux aller prendre de ses nouvelles, d'ailleurs, de ma belle ? Elle avait les boules, j'crois. À cause du môme, du fric, et puis tout ça. Elle capte pas, je crois, que j'ai envie de tout ça. Que j'ai envie d'un truc à nous, à moi, et que j'ai assez de couilles, en tous cas, j'crois, pour m'occuper d'eux comme il faut. Que j'suis là pour eux, tu vois ? Que j'me sens prêt, je crois, à traverser la galère, cette putain de galère, et puis à être un homme, enfin. Elle m'a donné le courage, je crois, cette beauté. Le courage de grandir et puis d'avancer, d'être un peu moins caché derrière les illusions et puis d'accepter que oui, y'a quelques années, j'me suis lamentable planté. J'ai passé assez d'temps contre le sol, je crois. Ça suffit, d'pleurer, c'est enfin l'temps de se relever, et puis d'avancer. D'avancer et d'accepter qu'on est tous menés à échouer, mais qu'on peut aussi s'relever et continuer. Enfin, je crois. Je sais plus trop, présentement. Parfois, j'ai l'impression d'être clean, d'être présent et heureux, et puis trente minutes plus tard, j'ai froid, j'ai les dents qui claquent et le corps qui m'fait la guerre. J'ai le coeur qui essaie de courir de nouveau et la tête qui veut pas suivre. J'ai le coeur qui hurle et mon corps qui réclame la came, fort, trop fort, toujours trop fort. C'est pas joli à voir. Ça me rappelle les meufs, tu sais, dans les squattes, celles qui avaient pas assez de frics et qu'au final, pour plus entendre les cris, elles allaient faire des pipes aux dealers. On les trouvait bien pathétique. Par contre là, maintenant, quand ça m'prend, j'peux te dire que j'en ferais des pipes, pour une putain de ligne. J'serais même prêt à avaler, je crois. Et puis j'me rappelle la gueule de ta bite, et j'me dis que non, ça serait bien trop dégoûtant, haha. Enfin bref, c'est assez compliqué, ici. Un paradis et un enfer à la fois, tu crois ? À chaque foutu pas, tu sais pas où tu te retrouveras. C'est un peu la galère, mais en même temps, ça fait du bien, je crois. C'était le bon choix, tu vois ? Venir ici, et puis tenter de recommencer. Tout effacer, d'un coup, brusquement, et puis vivre de nouveau. J'garde deux trois trucs, pourtant ; ma belle, le môme, la soeur et puis toi. Parce que ça sert à rien d'avancer, je crois, sans vous. Vous êtes un peu mon monde, je crois. Un p'tit point de repère, une connerie comme ça. J'sais plus comment le psy a appeler ça, la dernière fois. Un mur ? Un pilier ? Ouais, un pilier, je crois. Vous êtes mes piliers, les gars. Sans vous, j'crois que j'serais déjà bas. P'être que oui, on s'est enfoncé dans la merde et la drogue ensemble, qu'on était bas, putain, si bas, mais au moins, c'était beau, et puis, c'était pas le fond. On a toujours laissé d'la place pour l'échelle, pour retrouver la surface, je crois. J'espère juste, au fond, que tu crois pas que j't'ai laissé en bas. Que j't'ai abandonné et que j'ai remonté l'échelle. Elle est toujours là, mon gars. J'suis même pas en haut encore, de toute manière. J'suis coincé entre les deux, présentement, et j'crois que ça sera comme ça pendant un bon moment. Alors t'inquiètes pas, mon gars. Si t'as envie de monter, p'être qu'à un moment, tu vas me rattraper. De toute manière, j'vais clairement rester une petite éternité sur cette échelle, avant d'atteindre le haut. Y'a trop de lumières, de toute manière, tout là-haut. Tout ça pour dire, j'suis là, mon gars. Et j'espère que, bah, tu creuses pas, tout en bas. Le cleb.
Dernière édition par Cleb Kapi le Mer 11 Sep - 2:00, édité 3 fois |
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Ange Manson
REPRESENTATIVE SONG : charles manson is jesus christ. - the labiancas. IN THE POCKET : trouées, il y perd tout. PSEUDO : l'enfant sauvage. CREDITS : neo. DOLLARS : 72
| Sujet: Re: on a mis la mort à nos trousses. (cleb) Lun 9 Sep - 21:12 | |
| je suis émerveillée de te voir ici, patron. j'ai rien à dire si ce n'est, abusons l'un de l'autre. |
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Cleb Kapi
REPRESENTATIVE SONG : RUB A DUB - FAUVE IN THE POCKET : LE NUMÉRO DE TA MÈRE, CELUI DU VÉT. UNE PAGE, LÀ, CHIFFONNÉE DE LINGES POUR BÉBÉ. UN FOND DE TABAC HUMIDE. UN PORTABLE À LA VITRE FRACASSÉE, MERCI BB PSEUDO : NEO (MEL) CREDITS : RAMSEY DOLLARS : 122
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Constant Petiot
REPRESENTATIVE SONG : SICKMAN — ALICE IN CHAINS IN THE POCKET : PLUSIEURS DÉS AU NOMBRE DE FACES VARIÉ, DEUX TROIS PIÈCES TRUQUÉES, UN COUTEAU ET UN BRIQUET, UNE DIZAINE DE FAUSSES IDENTITÉS, TOUT AUTANT DE CARTES BANCAIRES ET UN FAUX NEZ ROUGE POUR COURONNER LE TOUT. PSEUDO : AMIANTE CREDITS : (C) AMIANTE DOLLARS : 9
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Aloysius Haight
REPRESENTATIVE SONG : the verve, bittersweet symphony IN THE POCKET : gitanes PSEUDO : vesperalis/laïla CREDITS : @aeroplane/tumblr DOLLARS : 65
| Sujet: Re: on a mis la mort à nos trousses. (cleb) Mar 10 Sep - 6:13 | |
| oh j'aime ce cleb en tout cas, j'ai hâte de lire la suite bienvenue |
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Cleb Kapi
REPRESENTATIVE SONG : RUB A DUB - FAUVE IN THE POCKET : LE NUMÉRO DE TA MÈRE, CELUI DU VÉT. UNE PAGE, LÀ, CHIFFONNÉE DE LINGES POUR BÉBÉ. UN FOND DE TABAC HUMIDE. UN PORTABLE À LA VITRE FRACASSÉE, MERCI BB PSEUDO : NEO (MEL) CREDITS : RAMSEY DOLLARS : 122
| Sujet: Re: on a mis la mort à nos trousses. (cleb) Mar 10 Sep - 17:31 | |
| constant essaie donc, sale fou, pour voir. ton os, j'vais le mordre d'une puissance aloysius oh bah merci, ça fait plaisir j'espère que t'aimeras aussi la suite, tiens |
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Lazare Jones
REPRESENTATIVE SONG : ORCA – WINTERSLEEP. IN THE POCKET : TON 06. UN BILLET DE CENT. DE LA COKE EN SACHET. UNE CAPOTE. UN CANIF. PSEUDO : MORIARTY. CREDITS : MORIARTY & TUMBLR. DOLLARS : 55
| Sujet: Re: on a mis la mort à nos trousses. (cleb) Mer 11 Sep - 2:27 | |
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Cleb Kapi
REPRESENTATIVE SONG : RUB A DUB - FAUVE IN THE POCKET : LE NUMÉRO DE TA MÈRE, CELUI DU VÉT. UNE PAGE, LÀ, CHIFFONNÉE DE LINGES POUR BÉBÉ. UN FOND DE TABAC HUMIDE. UN PORTABLE À LA VITRE FRACASSÉE, MERCI BB PSEUDO : NEO (MEL) CREDITS : RAMSEY DOLLARS : 122
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Aloysius Haight
REPRESENTATIVE SONG : the verve, bittersweet symphony IN THE POCKET : gitanes PSEUDO : vesperalis/laïla CREDITS : @aeroplane/tumblr DOLLARS : 65
| Sujet: Re: on a mis la mort à nos trousses. (cleb) Mer 11 Sep - 7:15 | |
| très très beau personnage ! j'adore tu écris super bien. j'ai aimé te lire franchement je te valide |
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Cleb Kapi
REPRESENTATIVE SONG : RUB A DUB - FAUVE IN THE POCKET : LE NUMÉRO DE TA MÈRE, CELUI DU VÉT. UNE PAGE, LÀ, CHIFFONNÉE DE LINGES POUR BÉBÉ. UN FOND DE TABAC HUMIDE. UN PORTABLE À LA VITRE FRACASSÉE, MERCI BB PSEUDO : NEO (MEL) CREDITS : RAMSEY DOLLARS : 122
| Sujet: Re: on a mis la mort à nos trousses. (cleb) Mer 11 Sep - 11:06 | |
| awwn, merci. ça fait trop de bonheur à mon coeur de lire ça. |
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Jimmy Valhallens
REPRESENTATIVE SONG : open your eyes, snow patrol. IN THE POCKET : briquet, cigarettes, lunettes de soleil, porte-feuilles. PSEUDO : KIDD/Faustine. CREDITS : kidd, daydream nation. DOLLARS : 251
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Cleb Kapi
REPRESENTATIVE SONG : RUB A DUB - FAUVE IN THE POCKET : LE NUMÉRO DE TA MÈRE, CELUI DU VÉT. UNE PAGE, LÀ, CHIFFONNÉE DE LINGES POUR BÉBÉ. UN FOND DE TABAC HUMIDE. UN PORTABLE À LA VITRE FRACASSÉE, MERCI BB PSEUDO : NEO (MEL) CREDITS : RAMSEY DOLLARS : 122
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Jimmy Valhallens
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