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 Bip Bip Bip

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Memphis Dickson
Memphis Dickson

REPRESENTATIVE SONG : Aloe Blacc - If I
IN THE POCKET : Du sable, deux mains.
PSEUDO : P&H
CREDITS : P&H
DOLLARS : 20

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MessageSujet: Bip Bip Bip   Bip Bip Bip EmptyMar 10 Sep - 9:50

Memphis Dickson

« J’essaie de ne pas vivre en contradiction avec les idées que je ne défends pas. (Pierre Desproges) »

SURNOM:
Resolved. A cause de la machine en lui.
ÂGE:
23 ans. A cause des registres dûment tenus, à cause du temps qui passe et qui s'envole, mais qui n'oublie pas de laisser ses traces.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE:
Floride, un 17 mai. A cause de ces mêmes registres, à cause de ses parents, à cause de leurs parents avant eux, et caetera.
ORIGINES ET NATIONALITÉ:
Africaines, cubaines. Américaine. A cause de qui, on se le demande.
PROFESSION:
Aspirant. Aspirant de la vie. Aspirant de la vérité.
STATUT CIVIL:
Célibataire. A cause de lui-même, probablement.
ORIENTATION SEXUELLE:
Aspirant bonheur.
CROYANCE(S):
Aimerait croire en lui-même, et c'est déjà pas mal. Croit en l'avenir, croit en son pays souvent, croit en l'humain à temps partiel.  
CASIER JUDICIAIRE:
Vide. A cause du rien.

Image ©️Pingnews on flickr



Il s'agit là du même principe que le jeu du flood, qui tourne bien souvent, si ce n'est que nous vous déconseillons fortement le mode aléatoire puisqu'il doit s'agir des choix de votre personnage. En effet : vous allez devoir nous dire quelle chanson il aurait choisi pour chacune des parties suivantes, et développer en plus ou moins cinq lignes la raison de ce choix.
 

I'm a machine
(Colour Fade / Funeral Suits)
Cadeau. Un ticket pour mon cerveau. Touchez pas aux machines colorées, je ne sais pas à quoi servent tous ces boutons. Touchez à rien. Profitez.

Voilà. Vous y êtes. Le canapé sent le cuir neuf, l'odeur vous assomme l'odorat. Vous vous enfoncez dans les coussins et le film commence, récupérant les pensées à droite à gauche, pas toujours claires ou cohérentes,  les rassemblant dans une histoire folle. Vous vous laissez bercer par l'attraction, guidés par votre curiosité et le scénario qui défile.
Vos yeux se posent sur un petit album photo. Votre reflet, moins vingt-trois ans. Votre mère observe un regard bienveillant sur le petit corps marbré, qui sourit autant par ses lèvres minuscules que par ses yeux immenses. A ses côtés, se dresse le portrait de famille. Parents, chérubins. Les traits enfantins de votre frère aîné vous déstabilise, puis vous constatez que sur cette image-ci, vous avez des cheveux. Toujours plus que sur l'image voisine. Le couple rayonne, juste derrière. C'est donc ça, le bonheur, pensez-vous. L'insouciance d'une escapade un jour d'été, en famille. Un papillon posé sur une fleur. Un chapeau de paille sur les cheveux de votre bien-aimée. Des éclats de rire qui transpirent sur une photographie. Mais d'où vient-il, ce rire ? A peine la question se pose dans votre esprit que la réponse jaillit. Le grand-père s'amusait derrière l'appareil, avec la même vue que celle sous votre nez.  
Voilà un bon début. Toutes les histoires commencent, à peu de choses près, de cette manière. Seules les péripéties changent, car vous savez que l'issue aboutira de deux manières possibles : une bonne, une mauvaise.

I'm not a perfect person
(The reason / Hoobastank)
Le film saute, et sur vos genoux se trouve à présent votre butin : quelques friandises multicolores. Vous entendez des pas, résolument féminins. La voix qui l'accompagne est curieuse. Pas une once de colère ne la déforme, seulement l'amusement. Un son aujourd'hui rendu irréel dans votre carcasse de fer insonorisée, aseptisée. Et elle vous complimente, cette voix. Quel esprit. Vous avez détourné les règles, bravé une ligne invisible, donc inexistante. Vous êtes un petit malin, un petit chapardeur, et la voix craque pour votre monstrueusement adorable bouille. Pleine de sucre blanc. Fendue d'un énorme rire du coupable piégé, relâché. D'un coupable en couche-culotte qui use ses genoux sur le parquet, à l'assaut des tables et des chaises. La douleur passée se réveille un brin dans vos genoux, comme pour accompagner la projection. Mais ce n'est pas désagréable. Vous rabattez vos pieds sur le canapé ; vous vous ramassez inconsciemment sur vous même, comme pour mieux vous défendre de la suite, pour mieux vous protéger du froid ambiant, qui ne va pas tarder à vous glacer les os.

The devil is in the details
(Hanna's soundtrack / The Chemical Brothers)
Le film est maintenant moins flou. Mais la bande change et la qualité s'en ressent. Car se déroule non pas un souvenir mais un extrait mémorisé d'une authentique vidéo. Vous reconnaissez vos pleurs, votre menton amoché, un rire gras, de minuscules mains qui viennent guérir la blessure, votre mère qui écarte ses bras pour vous laisser la place de vous blottir contre sa poitrine. Une chaleur qui ne vous habite plus désormais. Vous vous réconfortez avec les images, la frimousse curieuse de votre petite sœur qui s'immisce entre vous et le regard de votre mère. Mais voilà, le sable colle sur le sang coagulé, et l'eau salée censée nettoyer vous fait arborer un millier de grimaces. Deux, trois, quatre rires bientôt résonnent, vous vous renfrognez d'être l'objet de leurs moqueries. Marque de votre caractère buté. Mais vous voulez retourner sur la planche, encouragé par la fratrie, empêché par la génitrice. Marque de votre caractère têtu, résigné. Mais maman, c'est pas grave. Et puis on est là, on a payé, et on se débrouille bien ... Vos arguments puent la vérité que vous arborez déjà comme arme, à l'étendard de vos requêtes. Vous brisez la négation et vos trois corps retournent dans l'eau, sous l'œil alarmé de votre mère et celui, vigilant, du surfeur qui vous apprend les rudiments. Et celui de la caméra tenue par votre père.  
On remonte en avant dans un concerto de bandes froissées, votre sœur n'a maintenant que trois ans. Et même si c'est une fille de trois ans, question caprices, elle est loin de vous arriver à la cheville. Mais il faut avouer que c'est une crème. Une crème boursouflée, violettes à taches jaunes et noires, aux pétales roses. Avec un arrière-goût de bienveillance dorée qui se confond avec la farine. Vous étiez purée retournée et maïs missile. Avec un goût de semelle ingérable. Indigérable. Non pas superactif, ni superman. Surdoué perdu, cerveau en perdition. Elle avait trois ans, et vous trois ans d'avance.  

Work it harder Make it better Do it faster Makes us stronger
(H.B.F.S. / Daft Punk)
" Il est logique votre enfant, il ira loin. " " Il lui faut une école spécialisée, adaptée à ses capacités. " ... Il faut d'abord arrêter de le regarder comme un animal de foire, un singe savant. Vous vous tortillez sous les regards, sous les attentes. Vous n'avez rien demandé. Vous avez la raison dans le corps, la vérité sur les lèvres, un sens pratique qui s'échappe de vos poches, un cerveau tactique immense doté d'une salle de projection. Plus deux âmes, ça fait trois. Trois à peser sur les épaules affaissées de vos parents, sur leurs cœurs qui se rabougrissent comme s'envolent les sourires sur leurs visages et les zéros sur leur compte en banque. Comme quoi l'intelligence n'en a rien à cirer de la richesse (ou de son absence).
Accrochez-vous, un festival de souvenirs vous emporte maintenant. Dans un rythme soutenu, il vous mitraille la cornée, vous perd dans des journées harassantes. Car vos parents vous ont élevés dans l'égalité (à défaut parfois de la légalité). Alors tous les trois, vous savez aussi bien surfer (quoique non, la petite dernière est manifestement très douée) que faire à manger, entretenir une maison, jouer au golf, réparer le B.A.BA. en plomberie et électricité. Ambiance éclectique. Enfin, vous avez appris comment vous défendre, et pas mal d'autre choses, comme l'espagnol, l'humilité, la justice. Les tromperies des apparences. Êtes-vous pour autant quelqu'un de bon ? Vous n'osez pas l'avouer, mais le cri résonne dans la salle, dans votre cerveau, dans votre corps entier, il rencontre les parois et se multiplie, s'amplifie. Non, non, non.
L'image devient rose, les sons se distordent, la pièce semble vous enfermer. Arrivé à la fin du lycée à l'âge où on est censé l'entamer, vos parents avaient mis suffisamment de côté pour vous payer des études adaptées. Dans un centre irréprochable. Où les autres surdoués se flinguaient le cerveau. Parce que le calculateur, vous ne pouvez pas l'arrêter. Alors vous le faites dérailler, comme vous pouvez, à coups de buvards ou de pilules de LSD. Mais tant que vous étiez présents aux cours, qui s'en souciait ? Apprendre, oublier. Trois ans loin de vos parents, trois ans d'apprentissage intensif. Les cours d'une part étaient bien plus poussés que ceux d'un cursus normal, et une fois dans la rue, on oubliait que vous étiez surdoué. Les filles, en particulier, l'ignoraient ... Vous étiez enfin normal, sans pression, dans l'anonymat de la rue. Momentanément. Et une fois que les profs vous lâchaient, les recruteurs de l'Ivy League venaient vous faire les yeux doux. Ou les mecs dépêchés des agences à initiales.  

It's time to face the world
(Push / Lenny Kravitz)
Vos muscles se tendent sous l'effort à fournir. Enfin vous partez, loin de vous la Floride, loin de vous votre famille, loin de vous vos amis, le surf, les buvards et les regards. Vous avez dégotté un appartement dans Brooklyn grâce à vos nouveaux contacts. Vous vous hissez vaillamment sur la pointe des pieds et enfin, le dernier carton trouve sa place dans le camion, entre meubles, cartons et planche de surf (inutile à Brooklyn, mais vous ne pouvez vivre sans). Vous soufflez, soulagé. Vous embrassez vos parents, qui n'avaient déjà que trois enfants à mi-temps. Ils n'en auront plus que deux demi. L'aîné vadrouille, d'après le dernier coup de fil qu'il a donné, la benjamine vadrouille, d'après les différentes compétitions de surf autour de la planète auxquelles elle participe. Et vous, vous rentriez dans le FBI. Enfin, soyons exact, vos premiers pas ne se feront pas demain. C'est juste une mutation. Un accomplissement, un but, après avoir atteint votre majorité. Ce que vous avez pu être naïf, il y a deux ans ...
Le film s'emballe. Les machines vrombissent, retentissent. Ça aurait presque pu ressembler à un tintement joyeux. Presque. Si le froid n'avait pas glacé vos membres, vos os, vos nerfs. Vous avez du mal à respirer, vous suffoquez ... Et enfin la délivrance, des pensées heureuses, un film à l'eau de rose. Fourni avec pétales et épines. L'indécente blonde qui apparait à l'écran prend toute la place, dégivre votre corps. Elle glisse, elle flotte, elle roucoule, à gorge déployée. Ses yeux cherchent les vôtres, s'y accrochent, s'y rassurent. Elle rejette la tête en arrière, sous l'effet de son rire - que vous avez déclenché. Et puis elle s'installe sur vous, en vous, prend la place qu'elle a toujours semblé occuper.
Et pouf! elle disparaît. Il faut la rayer, la masquer, la griffonner, le tempo des cliquetis accélère. En vadrouille elle aussi, en vadrouille loin, loin de vous, loin de votre cœur, trop loin de votre corps qui parfois la réclame encore. La pièce s'éteint. Silencieuse. Neutre. Comme si le calculateur réfléchissait intensément à ce qu'il allait choisir maintenant. Comme s'il craignait ce qui allait suivre ... Et doucement, furtivement, la machine reprend à tourner. Vous respirez brusquement, avalant l'air autour de vous de peur qu'il en manque. Et force est de constater que vous semblez tout aussi obligé de voir la suite.

And so, you built a life on trust.
(Metal & Dust / London grammar)
Barre barreaux mensonges mensonges mensonges. Le problème c'est que vous comprenez rien aux mensonges, vous avez été élevés entre la vérité et la franchise ... Évincé. Ridiculisé. Envoyé à Brooklyn pour avoir le champ libre en Floride. L'amertume passera. Un jour. La haine entre vos lèvres scellées par la justice, il faut jouer avec les règles maintenant. Jouer contre, dans un duel corrompu. Vos poings se serrent, vous sentez vos ongles écorcher vos paumes, doucement mais sûrement. Fini de jouer l'aveugle. Car si aujourd'hui votre frère en pâtit et se rafraîchit les idées, demain ce sera vous, et au final, ce sont toujours les mêmes. Les mêmes pièces d'échecs, les mêmes gagnants. Et la vérité vous a contraint à changer, vous petit robot.

Escape Wavefold
(Hanna's soundtrack / The Chemical Brothers)
Vous revoyez la tête de votre patron, le jour où vous avez demandé votre démission, acceptant ainsi le statut de non-allié. Vous n'avez jamais été un allié. Pas pour eux. Les gens droits disent qu'ils suspectent votre propre frère pour pas mal de merde, ils ne vous envoient pas à des kilomètres, ne se défendent pas d'un "tu es trop jeune, trop impliqué, tu ne sais pas".  
Non putain. Non, vous ne pouviez pas savoir. Comment l'auriez-vous su ? La machine s'énerve. Vous voyez un instant ce que Brooklyn vous a apporté, votre appartement, vos nouveaux amis, puis tout se fige, s'éteint. S'arrête. Le rien. Juste le silence, le noir, le froid et cette sensation qui vous fais frissonner, vous donne envie de partir, loin, loin de cette haine et de cette rage refoulée de robot emmêlé dans ses fils qui ne peux pas agir, plus agir. Et qui se consume, sur place, sous vos yeux. Bip Bip B-----  



PSEUDO/PRENOM:
P&H
COMMENT TU NOUS AS CONNUS ?:
Grâce à Marian
AVATAR:
Thiago Santos
COMMENTAIRES ?:
Le graphisme est à tomber Bip Bip Bip 259539134 Sinon, cette présentation rentre dans mon top 5 des choses les plus bizarres que j'ai écris Bip Bip Bip 3319298514 
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Memphis Dickson
Memphis Dickson

REPRESENTATIVE SONG : Aloe Blacc - If I
IN THE POCKET : Du sable, deux mains.
PSEUDO : P&H
CREDITS : P&H
DOLLARS : 20

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MessageSujet: Re: Bip Bip Bip   Bip Bip Bip EmptyMar 10 Sep - 9:51



Le soleil matinal embrase la pièce, chassant les ombres. Mais on en a que faire. On s'acharne, on s'exécute. On transporte, on range. On marche, on se précipite vers un avenir qui ne sert à rien. On, on, on. Courte nuit, t'as pensé aux somnifères ? C'est vrai que c'est pas conseillé, l'alcool, tout ça. On se divise, on fait des parts. Tu prends une moitié, je garde l'autre. Et l'appartement. Et ce que tu ne peux pas embarquer dans ton futur chic appartement aux mille caméras, aux milles yeux qui te scruteront, qui se demanderont pourquoi tu ne dors pas à trois heures du matin. Nous seuls avons la réponse, mais à qui d'autre le diras-tu ? A celle qui te sers de copine ? Mais bien sûr …
Depuis une heure, le soleil qui se lève nous occupe. Et toi tu sembles réciter une psalmodie sur la vie à Brooklyn, tout ça. Comment c'était bien - oui, tu en parles déjà au passé -, comment les choses se passent ici, combien je vais te manquer. Mais oui. T'auras pas le temps de penser à moi, à nous, t'as déjà enterré les rues sales et les rires gras au fond de toi, dans ta boîte à trésors. Tu t'en vas faire une carrière plastifiée, froide et tu te plains pas de ça, pas des bonnes choses. Ces airs de guitare, dont j'étais le seul spectateur, vont crever. Mes sourires, dont t'étais le seul spectateur, vont crever. Et tu ne ressens rien, t'as déjà le cœur aseptisé. Je t'écoute. J'attends le moment où tu commenceras à mentir. Peut-être le passage sur notre amitié qui continuera, peu importe où nous nous trouvons. Gravé dans nos cœurs, tâchés sur nos visages. On se connaît bien, tu ne parles pas de notre futur. On se connaît bien, je devine tes questions et tes doutes dans tes épaules, mais la résignation nous achève.

Un camion, une poignée de main, un dernier aveu chacun.

T'as copine a vu tous les lits du quartiers. T'as déjà posté une annonce dans le journal pour que je trouve un coloc. Super. Pourquoi on est triste ?

Sur le pas de la porte commencent nos mensonges. A l'extérieur. Où la vérité est trop précieuse. Prends soin de toi, on s'rappelle, tu m'donneras de vos nouvelles. Et si rien ne se voit, ton chien pleure pour moi.
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Aloysius Haight
Aloysius Haight

REPRESENTATIVE SONG : the verve, bittersweet symphony
IN THE POCKET : gitanes
PSEUDO : vesperalis/laïla
CREDITS : @aeroplane/tumblr
DOLLARS : 65

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MessageSujet: Re: Bip Bip Bip   Bip Bip Bip EmptyMer 11 Sep - 7:09

j'aime beaucoup ton personnage et c'est bien écrit bright eyes 
bienvenue parmi nous tears 
je te valide little heart 
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Jimmy Valhallens
Jimmy Valhallens

REPRESENTATIVE SONG : open your eyes, snow patrol.
IN THE POCKET : briquet, cigarettes, lunettes de soleil, porte-feuilles.
PSEUDO : KIDD/Faustine.
CREDITS : kidd, daydream nation.
DOLLARS : 251

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MessageSujet: Re: Bip Bip Bip   Bip Bip Bip EmptyJeu 12 Sep - 13:20

avec du retard, très bienvenue parmi nous, j'aime beaucoup l'aperçu que j'ai pu avoir de ton personnage, sans avoir déjà eu le temps de tout lire. cara
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https://neversleep.1fr1.net

Hallie Reeve
Hallie Reeve

REPRESENTATIVE SONG : get lucky
IN THE POCKET : un briquet, un paquet de cigarettes bien entamé, un billet de cinq dollars
PSEUDO : BUCKSHOT/Juliette
CREDITS : KIDD
DOLLARS : 130

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MessageSujet: Re: Bip Bip Bip   Bip Bip Bip EmptySam 14 Sep - 11:07

j'aime beaucoup comment tu présentes ça, comme un film qui défile, c'est une bonne idée cara 
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Memphis Dickson
Memphis Dickson

REPRESENTATIVE SONG : Aloe Blacc - If I
IN THE POCKET : Du sable, deux mains.
PSEUDO : P&H
CREDITS : P&H
DOLLARS : 20

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MessageSujet: Re: Bip Bip Bip   Bip Bip Bip EmptySam 14 Sep - 19:25

Merci beaucoup vous trois bril 

Hallie : c'est surtout expérimental -> content que ça plaise Bip Bip Bip 3399258984 
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MessageSujet: Re: Bip Bip Bip   Bip Bip Bip Empty

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