« Car Daisy était jeune, et l’université factice dans lequel elle vivait dégageait un subtil parfum d’orchidées, un snobisme attirant, entêtant, et les airs à la mode, que jouaient les orchestres cette année-là, transposaient en rythme nouveaux toute la tristesse de l’existence et des désirs insatisfaits. » Great Gatsby

Aube ce temps déchiré par les courtisant d'argent vêtus ils vagabondes leur pieds barbares foulant ce sol de sang aiguisé nourris par ces charognes de soufres ! Gamines attendris par les disputes quotidiennes de sa famille détruite elle s'amusait cette riche féconde aux sourires des dieus ô puissance ténébreuses ! Lorsque l'aube se lève la gosse devient reine, rêve d'idéaux. De chiffres ne veut voir ces années éparpillées, dilapidées par le paternel, la mère braillant les danses tentatrices, ses frères s'éjectant par des coups lancés au visage. Immortelle se dit-elle de ses lèvres peintes pour des instants songé de bonheur illusoires. Vingt trois ans et la vie devant elle s'étend comme barbelés tragiques. D'inconnu rêve t-elle de nostalgie elle esquisse les édifices imaginaire Inde, Chine, Turquie ô doux pays puisant les arc-en-ciel elle vient en traître cette traînée solitaire ! Un mois de de mars aux pays de l'enfer pollution et pauvreté. Anglaise de ces mornes orbes tentaculaire son rictus témoigne la grandeur de l'Ecosse, de l'Angleterre. écrire ici. écrire ici. écrire ici. écrire ici. écrire ici.